sábado, 2 de julio de 2011

Oh les filles!

Agathe. Sala 6, puerta de llegada. Las gafas de ver las llevaba mal colocadas en el pelo, a modo de diadema, dejando claro su estilo propio. Su sonrisa saluda, muda (español o francés). El metro se hace eterno comparando la ropa de la gente, los japoneses con las maletas de Vuitton...

Hace mucho calor y una brune Brigitte Bardot sube ávidamente las escaleras del Museo del Traje. Foto tras foto va captando el momento, recordando la risa de Madrid al ver que no encontraba ni una sombra en aquel desierto de asfalto. Ay Agathe.

Alpargatas. Imprescindibles para Agathe, ella si que entiende. La catedral se levanta ante sus ojos azules, un trop jolie se escapa de sus labios sonrientes, eternamente sonrientes. Opera se le hace celestial, todo en sombra. Low battery en la Plaza de Oriente, on rentre à la maison.

Una pequeña aventura, dormir en los bancos de la plaza Cervantes de Alcalá de Henares. El Quijote internacional se hace una foto con Agathe y los juzgados de Alcalá nos brindan una comida en el Mcdonald's. La universidad la deja correr tras un pañuelo y las fotos acaparan el vuelo de una falda de cuadros amarillos que esconden las hermosas piernas de Agathe, cansadas de andar, de viajar.


Alors on dance adorna Madrid esa mañana. Patines calor y agua sirven para hacer del Retiro uno de los lugares más.. divertidos y arriesgados de Madrid. Las rampas nos matan y la hierba nos resucita. Un par de manzanas y en marcha. El Paseo del Prado atardece a 40 grados mientras Agathe devora una empanadilla en un banco semicircular. Con sabor a nata empaqueta los patines y Agathe se propone desfilar por el Museo del Prado sin vergüenza, gritando al ver a Saturno devorar a sus hijos, riendo con la bella celulitis de las tres gracias y admirando a Goya. Velázquez o Velásques qué más da. Murillo es très mignon aujourd'hui y Ribera es apasionante. Rembrant, Van Dyck y Jordaens, color. Veronés, Tiziano y Tinttoretto nos despiden por el Greco que pinta a la Virgen muy triste... Mais non! El Bosco había estado jugando al escondite pero Agathe, cual Hércules Poirot lo encontró después de la Anunciación de Fra Angelico.

Recorrimos la calle Alcalá en patines, cuesta arriba, Agathe estuvo a punto de desaparecer entre una horrible muchedumbre pero la Puerta del Sol le tendió la mano.

A Agathe le quedan tres días en Madrid, saboreará los domingos por la mañana, paseará por Madrid y good bye en Barajas.


Agathe, salle 6 porte d'arrivées. Les lunettes de travers sur la tête, on remarque son propre style. Son sourire muet (espagnol ou français). Le métro se fait éternel en comparant les vetêments des gens, les japonaises avec des valises de Vuitton...

Il fait hipperchaud et une brune Brigitte Bardot monte les escaliers du Musée du Costume. Photo après photo elle capte le moment, le rire de Madrid quand il voit qu'elle ne trouve pas une seule ombre dans cet désert d'asphalte. Oh Agathe!

Espadrilles. Essentielles pour Agathe, elle si connait. La cathédrale se lève sous ses yeux bleues. Un trop jolie s'échappe de ses lèvres souriantes toujours souriante. L'Opéra parait céleste toute en ombre. Low battery en la Place d'Oriente, on rentre à la maison.

Une petite aventure, dormir dans les bancs de la Place de Cervantes d'Alcalá de Henares. Le Quichotte international se fait une photo avec Agathe et les tribunaux de Alcalá nous offrent un dejeuné au Mcdonald's. L'université la laisse courir derrière un foulard et les photos capturent le vol des cadres jaunes d'une jupe qui cache les belles jambes de Agathe, fatiguées, de se promener, de voyager.

Alors on danse décore cet matin Madrid. Patins, chaud et de l'eau sont suffisantes pour faire du Retiro un des lieux le plus... dangereux et risques de Madrid. Les rampes nous tuent et l'herbe nous ressuscite. Un per des pommes et en marche. Le promenade du Prado crépuscule à 40 degrés pendant Agathe dévore un petit pâté sur un banc demi-circulaire. Avec le goût de chantilly on range les patins et Agathe se propose défiler par le Musée du Prado sans aucune honte de crier sur le tableaux de Saturne en dévorant ses fils, en riant avec la belle cellulite de les trois grâces et en admirant Goya. Velázquez ou Velasques n'importe quoi. Murillo est très mignon aujourd'hui et Ribera est palpitant. Rembrant, Van Dyck et Jordaens, couleur. Veronés, Tiziano et Tinttonretto nous disent adieu de la part de El Greco qui dessine la Vierge trop triste. Mais non! El Bosco a joué au cache cache mais Agathe comme Hercules Poirot l'a trouvé après de l'Annonciation de Fra Angelico.

On est montées la rue d'Alcalá en patinant. Agathe était en point de disparaître dans une foule horrible mais la Puerta del Sol l'a tendit la main.

Il manque trois jours à Madrid, savourera les matins de dimanche à Madrid, elle va se promener et good bye à Barajas.

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